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Marie-Madeleine

là où Marie Madeleine pleure, où elle a parlé de la tristesse avec laquelle elle a vécue, de sa tristesse, elle relâche – les mots qu’elle parle la transforment, ses cheveux longs glissent sur les pieds du x, chute d’eau lumineuse. Marie Madeleine n’a pas de visage, même pas de tête, Marie Madeleine danse tribale, elle lève le pied, ses anges enfantins autour la regardent, la relancent joyeusement.

le vent me danse

le vent me dense

la hauteur me grise

à la grâce de dieu

imperturbable

L’entraîneuse